« Les entreprises de presse étaient dans l’obligation de formuler une telle demande compte tenu du déficit qui frappe leurs finances, des coûts liés à la production (papier, encre) et de la baisse du dinar tunisien face aux monnaies étrangères », peut-on lire dans le communiqué de la FTDJ, qui a rappelé avoir toujours évoqué les difficultés auxquelles les journaux font face. « La Fédération compte sur la compréhension des lecteurs vis-à-vis de la hausse des prix. D’ailleurs, ces lecteurs ont toujours été un soutien pour la presse », peut-on encore lire dans le communiqué de la FTDJ.