Fort du succès international de la première édition en 2015, l’Institut National pour le Travail et les Etudes Sociales (INTES) et l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), organisent la deuxième édition de l’Ecole d’Eté sur la Migration en Tunisie, sous l’égide du Ministère des Affaires sociales et du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
Du 29 août au 3 Septembre 2016, à l’Institut des Hautes Etudes Touristiques (IHET) de Sidi Dhrif – Université de Carthage à Tunis, 50 personnes sélectionnées par le Comité Scientifique participeront à un programme de conférences, ateliers, modules de formation et visites de terrain, animés par des experts nationaux et internationaux, des chercheurs et des représentants d’institutions publiques et organisations internationales.
La thématique de la deuxième édition de l’Ecole d’Eté porte sur la «Migration et le Développement durable en Tunisie : observations, analyses et perspectives », un sujet important et d’actualité. En effet, l’inclusion de la migration dans les Objectifs de développement durable (ODD), en reconnaissance du rôle que joue la mobilité humaine dans la réduction de la pauvreté des inégalités dans chaque pays, est l’une des innovations clés de l’Agenda 2030 du programme de développement international défini par les Etats membres de l’ONU en septembre 2015.
L’organisation de cette Ecole d’Eté pluridisciplinaire s’inscrit dans le cadre du projet « Education, formation et partage des connaissances sur les migrations en Tunisie » financé par le Fonds de développement de l’OIM et mis en œuvre conjointement par l’OIM et l’INTES. Elle est organisée avec le concours du CeTuMA, de l’IRMC, de l’ONM et de l’OTE.
Pour Lorena Lando, Chef de Mission de l’OIM en Tunisie, «l’engouement suscité par l’Ecole d’Eté sur la Migration en Tunisie nous confirme l’intérêt croissant pour cette thématique déterminante pour l’avenir de nos sociétés et de nos économies. Nous avons pour ambition d’encourager nos participants à devenir des acteurs actifs, afin de créer de nouvelles filières de recherche et de renforcer la connaissance à tous les niveaux ».
