Dans un post publié sur sa page officielle Facebook, l’ancien président provisoire de la République, Mohamed Moncef Marzouki est revenu sur l’abstention du chef de l’Etat de signer le fameux texte de loi portant sur l’amendement de la loi électorale, considérant que BCE vient de violer la constitution qui stipule soit la signature dudit texte ou encore son retour au parlement. « En effet, BCE n’a appliqué aucune de ces dispositions » peut-on lire dans ledit post.
Marzouki a considéré qu’on violant la constitution, le président de la République, dont le mandat est sur le point de s’écouler, risque ainsi de perdre sa légitimité morale. Il l’a dans ce contexte appelé à rectifier le tir avant qu’il ne soit trop tard on l’invitant à remédier à la situation.