
Samir Taïeb, ministre de l’Agriculture, a déclaré que les premiers résultats sont très positifs et rassurants. Cela ouvrirait la voie à la deuxième phase de l’étude.
De son côté, le secrétaire d’État chargé des ressources hydraulique et de la pêche, Abdallah Rabhi, a déclaré que cette étude est importante car il est possible de convertir environ 400 millions de mètres cubes d’ici 2050.Il a souligné la nécessité de créer des réserves supplémentaires et de nouvelles installations d’approvisionnement en eau.
Il est à noter que cette étude vise à proposer des solutions techniques visant à détourner l’eau des installations exploitées afin d’améliorer la gestion de l’eau dans le Nord et le Centre et rationaliser l’utilisation de l’eau dans les situations extrêmes tels que les inondations et les sécheresses.