Dans une déclaration au journal « Al Maghreb », le chef du gouvernement Elyés Fakhfakh a affirmé que son gouvernement est contraint de collaborer avec le FMI.
En effet, il a indiqué que le taux d’endettement alarmant qui a atteint 80% ainsi que les différentes contraintes actuelles notamment celles liées aux rémunérations des salariés obligent le gouvernement à négocier avec le FMI pour honorer ses engagements.
Fakhfakh a également annoncé que si le gouvernement n’entame pas ces négociations d’ici le 20 Mars, le pays risque de faire face à des dégâts financiers significatifs.
Par ailleurs, il a affirmé qu’il envisage d’optimiser les négociations afin d’arriver à un consensus qui satisfait l’intérêt du pays.