La lutte contre la corruption se poursuit en Tunisie notamment par l’INLUCC (Instance Nationale de Lutte contre la Corruption). Récemment, l’Instance a transmis une affaire à la Justice. Elle est relative à un soupçon de corruption concernant un responsable au sein d’une entreprises publique. Celle-ci relève du ministère de l’Industrie et des PME.
Selon l’INLUCC, le responsable en question aurait lancé des recrutements directs en dehors du cadre légal. Il aurait également accordé des primes mensuelles de façon illégale. Pis encore : le même responsable serait à l’origine d’un trafic des heures supplémentaires et il aurait accordé illégalement des bons d’essence.