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Dans un communiqué publié mardi 21 septembre, la branche du syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) à l’établissement de la télévision nationale dénonce la campagne d’incitation à la violence et de brimades dont est victime l’équipe de la télévision nationale unité de Kasserine après la diffusion du discours du président de la République, et l’interruption qui a eu lieu en raison de difficultés techniques dues à l’absence d’équipements nécessaires à la diffusion en direct au sein des unités de production régionales.
« Cette interruption est également due à la notification à une heure très tardive de l’établissement de la télévision tunisienne par les autorités concernées de la programmation du discours, en plus de la faible couverture Internet dans la région », explique le communiqué.
Le SNJT a par ailleurs dénoncé les violences verbales, les insultes, les menaces et les tentatives d’agression physique contre la journaliste du service de l’information, Habiba Laâbidi, et les tentatives de l’agresser physiquement par l’un des agents de la délégation régionale de l’Education à Tunis 1 lors d’une mission de terrain dans cette administration.
H.A.