Dans sa réponse aux journalistes à propos du taux de participation très timide aux élections législatives du 17 décembre 2022, le président de l’Instance des élections (ISIE) Farouk Bouasker, a précisé que l’absence de l’argent politique sale et le changement de la loi électorale étaient à l’origine de ces résultats indignes d’un pays comme la Tunisie post-Révolution.
Pour Bouasker, le membre de l'ancienne ISIE présidée par Nabil Bafoun qui a organisé les élections précédentes, il s’agit des résultats honorables attendus que les 1055 candidats qui se sont présentés à cette échéance électorale ont compté sur leurs propres moyens en l’absence du soutien de partis politiques ni des campagnes médiatiques financées par l’argent sale comme ce fut le cas lors des précédentes élections (???).
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