Le réchauffement climatique est bien là. On peut le constater à travers les dégâts qu’il inflige à la planète au fil des saisons: des inondations excessives dans certaines régions du monde, la sécheresse et les canicules prématurées dans d’autres. Dans ce contexte très difficile pour notre planète et se biodiversité menacée, on n’en finit plus avec les tristes records.
En effet, la moyenne mondiale des températures a atteint 17,23 degrés en début de semaine, ce qui est supérieur aux pires chiffres enregistrés auparavant pour un mois de juin. Aujourd’hui, dire que la Terre se réchauffe n’est plus un secret. Ce qui inquiète les scientifiques, c’est surtout la vitesse folle à laquelle les choses se passent.
Celui-ci est naturellement causé par l’effet de serre qui fonctionne sur la base d’un certain nombre de gaz comme le dioxyde de carbone – principal gaz à effet de serre -. Or, avec l’activité humaine et, selon certaines théories, les rayons cosmiques, il s’est accéléré.
C’est avec beaucoup d’inquiétude que la communauté scientifique évoque 2050 qui serait, selon elle, l’année de toutes les mauvaises surprises et de tous les tristes records pour la Terre. Souvenons-nous que nous n’avons qu’une seule et unique précieuse maison dans ce vaste univers qui s’étend sur des milliards et des milliards d’années lumières, sachant que nous n’en connaissons à peine que 10%. Il n’est jamais trop tard de changer nos habitudes afin de sauver ce que l’on peut encore sauver. Ce sont des changements à très grande échelle qui doivent être opérés.