L’Algérie a présenté une nouvelle version d’un projet de résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies appelant à un cessez-le-feu immédiat à Gaza. Ce texte, soumis à huis clos jusqu’à 11 heures (heure de New York) ce jour, constitue la troisième mouture du projet initialement proposé début février et qui s’était heurté à l’opposition des États-Unis.
Un projet amendé pour une meilleure prise en compte des droits humains
Parmi les modifications apportées au texte figure une mention, au quatrième paragraphe, appelant toutes les parties à respecter les droits humains des personnes détenues, en plus de la libération de tous les otages. Cette précision vise à renforcer la dimension humanitaire de la résolution et à garantir la protection des populations civiles.
L’Algérie, un acteur engagé pour l’arrêt du génocide palestinien
Pour être adoptée, la résolution doit recueillir 9 voix favorables et aucun veto de la part des cinq membres permanents du Conseil de sécurité : les États-Unis, la Grande-Bretagne, la France, la Russie et la Chine. Le vote, qui devrait intervenir dans les prochains jours, sera crucial pour l’avenir de la paix et de la sécurité dans la région. La diplomatie algérienne s’est toujours investie activement dans la recherche d’une solution juste et durable au génocide palestinien mené par l’Occupant. Cette nouvelle initiative s’inscrit dans le cadre de cet engagement constant et vise à contribuer à l’apaisement des tensions et à la reprise du dialogue entre les parties prenantes.
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