Le spectre de la guerre s’étend sur les finances de l’Occupant génocidaire, avec un déficit budgétaire de 15 milliards de shekels (4 milliards de dollars) enregistré en mars. La conjoncture alarmante traduit les dépenses faramineuses et les moyens mis à disposition par l’État paria pour mener l’extermination programmée et systématique du peuple palestinien.
Un fort déficit budgétaire creuse la dette et peut étouffer la croissance, limitant les investissements et augmentant les charges d’intérêt.
En effet, les dépenses publiques ont connu une flambée en raison de la guerre. Sur les 12 mois écoulés, le déficit budgétaire a atteint 6,2% du produit intérieur brut (PIB). La dérive affichée est d’autant plus inquiétante qu’elle s’accompagne d’une chute des recettes fiscales, en tarissement de 1,2% sur le premier trimestre de l’année.
La combinaison d’une accélération des dépenses et d’une diminution des recettes fiscales place l’Occupant dans une situation financière délicate. Le fardeau des dépenses militaire pour faire perpétrer le génocide palestinien pèse lourdement sur les finances publiques, limitant les ressources disponibles pour d’autres secteurs clés tels que l’éducation, la santé et les infrastructures.
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