Lors de sa participation, ce jeudi 1er août 2024, à la cérémonie d’investiture du nouveau président élu de la République islamique de Mauritanie, Mohamed Cheikh El Ghazouani, le ministre des Affaires étrangères, de la migration et des Tunisiens à l’étranger, Nabil Ammar, a transmis les salutations et félicitations du président de la République, Kaïs Saïed, à son frère Mohamed Cheikh El Ghazouani, ainsi que ses vœux de réussite dans la conduite de son pays vers plus de progrès et de prospérité tout en exprimant sa volonté de renforcer la coopération bilatérale à des niveaux supérieurs.
En marge de la cérémonie d’investiture, le ministre des AE a eu des entretiens bilatéraux intenses notamment avec les chefs de délégation de certains pays dont le Premier ministre algérien Nadhir Larbaoui, le représentant spécial du président russe, Mikhaïl Bogdanovde, le représentant du président palestinien, Nabil Abou Roudeina,le ministre d’État aux EAU, Sheikh Shakhbout Ben Nahyan Al Nahyan, le conseiller du président de la République égyptiennes pour les affaires militaires, le général Oussama Askar, le ministre des Affaires étrangères de la Gambie, Mamadou Tangara, le ministre malien de la Défense, le colonel Sadio Camara, le sous-secrétaire aux Affaires politiques du Sultanat d’Oman, Cheikh Khalifa Ben Ali Ben Issa Al Harthy, le Secrétaire d’État français chargée de la Francophonie, Chrysoula Zacharopoulou et avec le représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU et chef du Bureau des Nations unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel, Leonardo Santos Simão.
Ces entretiens ont permis d’échanger des points de vue sur les situations régionales et internationales, notamment face à l’agression barbare sioniste contre le peuple palestinien, ainsi que sur les changements régionaux et internationaux, peut-on lire dans un communiqué rendu public aujourd’hui sur la page officielle du ministère des AE.
Les discussions ont également porté sur les aspects de la coopération bilatérale entre la Tunisie et ses partenaires ainsi que sur les échéances à venir afin de renforcer les relations bilatérales, notamment en ce qui concerne le développement des investissements, notamment dans les grands projets d’infrastructures sur la base d’un intérêt commun.