Un témoignage poignant d’une mère tunisienne a récemment fait le tour des réseaux sociaux, captivant des milliers de personnes par la douceur et l’humanité d’une professionnelle de santé. Ce récit raconte l’expérience de cette maman, inquiète et bouleversée par la chute de sa petite fille de cinq ans, qui s’est blessée au front. Ce moment de panique aurait pu être un simple acte médical, mais grâce à l’attitude exceptionnelle du Dr Emna Azaiez, ce fut bien plus que cela.
Dans ce témoignage, la mère raconte comment, malgré sa fatigue, Dr Azaiez est arrivée avec un sourire réconfortant et une grande douceur. Elle a su immédiatement instaurer une relation de confiance avec la fillette en lui expliquant ce qu’elle allait faire et en la distrayant avec des chansons enfantines. La petite a rapidement oublié sa douleur, se laissant emporter par les éclats de rire et les jeux, tandis que sa maman, bouleversée, se voyait offrir du réconfort par le médecin.
Dr Azaiez n’a pas simplement soigné une plaie ; elle a su prendre soin de l’âme des parents, en leur offrant une présence apaisante, pleine de tendresse et de chaleur humaine. Avec des gestes simples, comme poser des questions à la jeune maman pour la détendre, elle a transformé un moment de stress en un instant de sérénité.
Ce témoignage fait écho à l’importance d’une approche humaniste dans la pratique médicale, où la technique s’allie à l’empathie. Dr Azaiez n’a pas seulement traité la plaie de l’enfant, elle a guéri les craintes et la douleur des parents. En soufflant un gang et en le transformant en une petite poupée avec un pansement sur le front pour faire sourire l’enfant, elle a offert à toute la famille un souvenir précieux, bien plus qu’un simple soin médical.
Ce récit rappelle que la médecine, loin d’être une discipline froide et mécanique, doit être avant tout un acte de soin global. Dr Emna Azaiez incarne ainsi une médecine attentive aux besoins émotionnels des patients, tout en offrant un service de santé de haute qualité. Elle est un exemple lumineux de ce que devrait être le parcours médical : un mélange de compétence, d’humanité et de réconfort.
voici le témoignage dans son intégralité traduit en français :
« Aujourd’hui, ma fille est tombée, son front s’est ouvert. On m’a dit que la plaie était profonde… il fallait un spécialiste et un chirurgien esthétique. Mon cœur était déchiré entre deux, la douleur m’a envahie et secouée.
Où est le médecin ?
Elle est arrivée… Elle était dans la salle d’attente, malgré sa fatigue, elle est venue avec un sourire radieux. Elle s’est adressée à ma fille, qui n’a que cinq ans, avec tout le respect et la douceur possibles. « Je suis Dr Emna Azaiez, et c’est moi qui vais soigner ta plaie. » Elle s’est présentée, a expliqué ce qu’elle allait faire et les endroits où elle allait toucher le corps de ma fille.
Puis, elle a sorti son téléphone et a mis des chansons pour enfants… Ma fille a commencé à jouer et à rire. Elle parlait, jouait et riait avec elle. Elle ne m’a pas laissée de côté, son regard se posait aussi sur moi et sur mon mari. J’avais une douleur forte et mon esprit était ailleurs, chaque point de suture était une souffrance que je ressentais dans mon dos et dans mon cœur.
Elle a pris le temps de me consoler, de me détendre, en me posant des questions : « Avez-vous d’autres enfants ? »
Je lui ai répondu : « Non, je n’ai qu’elle. » Elle a compris, a posé sa main, douce, sur ma joue, ses yeux brillants d’amour et de tendresse.
Dr Emna Azaiez, que je rencontrais pour la première fois, ne se contentait pas de faire son travail. Elle incarnait l’exemple même de l’ange gardien, qui apaise les cœurs, recolle les blessures et fait preuve d’une grande créativité dans son approche avec une petite malade, et ses parents inquiets.
Une fois le soin terminé, elle a soufflé sur le gand pour y dessiner un visage avec un pansement sur le front pour que ma fille rigole et ne se rende même pas compte de la douleur de la plaie. »