Le pouvoir d’achat du Tunisien a perdu entre 40 et 50% de sa valeur en moins de cinq ans, selon les catégories sociales de la population.
Cette réalité nourrit des revendications salariales à répétition qui entretiennent une tension sociale préjudiciable au climat des affaires, aux intentions d’investissement et finalement au processus de croissance économique.
Que fait le gouvernement Essid qui a pris des engagements devant l’ARP, pour faire baisser les prix au cours des 100 premiers jours qui touchent à leur fin ? Quel bilan et quelles perspectives ?