L’adoption vendredi 15 mai par l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) à une large majorité (131 voix pour, 8 abstentions et 14 contre) du projet de loi portant création du Conseil supérieur de la magistrature, a suscité un tollé presque général chez les magistrats et des critiques acerbes de certains partis politiques et des représentants de la société civile.
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