Lors d’un discours prononcé samedi 25 juillet 2015 à Djerba à l’occasion du 58e anniversaire de la république, l’ancien président de la République Mohamed Moncef Marzouki a indiqué que la loi de lutte contre le terrorisme représente un danger pour les droits et les libertés plus que le terrorisme lui-même.
Selon Mosaïque FM, Marzouki a dénoncé le fait que cette loi prévoit la peine de mort. L’ancien président a également critiqué la campagne contre les députés qui se sont abstenus lors du vote de cette loi en affirmant que celui qui exprime une opinion différente n’est pas forcément un terroriste.