Le leader du CPR, Tarek Kahlaoui, a déclaré, en marge de sa participation au dialogue national sue les mécanismes de lutte contre le terrorisme organisé par le centre d’étude de l’Islam et de la démocratie, que l’état d’urgence a été annoncé pour « réprimer les manifestations pacifiques ».
Il a, d’autre part, assuré que la loi de réconciliation nationale, proposée par la présidence de la République, divisera les tunisiens.