Après Turbulences en 2014, une pièce coup de poing inspirée par les tumultes de l’actualité et réalisée avec un sentiment d’urgence ; aprèsTrente ans déjà, en 2015, une évocation intime et nostalgique sur les occasions ratées et le temps qui passe, Syhem Belkhodja revient, avec une maturité encore plus affirmée aux fondamentaux de son métier de chorégraphe
Comme les deux précédentes, cette création intitulée Les frontières de l’invisible a bénéficié d’une résidence au Pavillon Noir, prestigieux Centre Chorégraphique National d’Aix-en-Provence, dirigé par le célèbre chorégraphe Angelin Preljocaj qui lui avait accordé le privilège de l’ouverture de sa saison 2016-2017 avec trois dates de représentation, les 6,7 et 8 octobre 2016.
Le Pavillon Noir, ce haut-lieu de la danse contemporaine est décidement comme un partenaire, un compagnon de route pour les artistes tunisiens et surtout pour la compagnie de Sihem Belkhoja. D’autres dates de représentation en Tunisie se profilent déjà à l’horizon de cette nouvelle pièce sur l’exil interprétée par 12 danseurs.
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