« Enfin libérée, justice rendue », ce sont les mots transcrits par la ministre de la Santé, Samira Meraï, sur son profil Facebook le soir de ce lundi 6 février, pour annoncer la libération de la résidente accusée d’erreur médicale commise à l’hôpital Farhat Hached de Sousse et placée en garde à vue.
Soulignons qu’un comité d’experts s’est réuni aujourd’hui pour élaborer un rapport prouvant l’innocence de la médecin et l’absence de toute faute médicale.
Le document a été envoyé au tribunal de Sousse l’après-midi de ce 6 février. Visiblement, les juges l’ont jugé convainquant, mettant ainsi fin au calvaire qui n’a que trop duré d’une jeune résidente que la seule chose dont elle est coupable est d’avoir tenté de sauver la vie d’un nourrisson qui n’avait aucune chance de survie.
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