Intervenant dans Ici Shems de ce mardi 17 octobre 2017, le secrétaire général-adjoint de l’Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT) est revenu sur certains points du projet de loi de Finances 2018, particulièrement celui qui porte sur les entreprises confisquées par l’Etat depuis 2011.
Ce sont des entreprises, souligne-t-il, qui connaissent une grave crise depuis 6 ans et qui ont perdu plus de la moitié de leur valeur.
« Il faut céder ces entreprises », affirme-t-il, catégorique. Cette cessation permettra, selon Bouali Mbarki, de sauver ces entreprises et d’assurer leur continuité. « Je suis favorable à cette hypothèse », assure-t-il, ajoutant qu’il est défavorable à toute vente à bas prix de ces entreprises. Une telle transaction mettra fin aux travailleurs de ces sociétés. « Il est vital de préserver les travailleurs dans les entreprises confisquées », déclare-t-il encore.
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