Les autorités algériennes ont pris au sérieux la menace du virus Zika, répandu principalement en Amérique latine, en Afrique de l’Ouest et même en Europe. Même si les risques de l’épidémie de ce virus sont plus ou moins minimes en Algérie, le directeur de la prévention et de la lutte contre les maladies transmissibles au ministère de la santé, Djamel Fourar a affirmé que les risques de la propagation de cette maladie dans son pays sont toujours présents.
Le risque est réel étant donné que ce virus se transmet par piqûres de moustique. Il a appelé les citoyens à coopérer avec les équipes d’intervention qui pulvérisent à l’intérieur des maisons pour empêcher l’apparition de cette maladie dangereuse.
Il est à noter que 59 pays d’Amérique latine, du Sud-Est Asiatique et de l’Afrique Australe ont été touchés par l’épidémie de 2016, la plus grande et la plus étendue depuis l’isolation du virus en 1959.
L’OMS a déclaré, à cet effet, la fièvre Zika comme une urgence de santé publique.
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