Lors d’une conférence de presse sur la lutte contre la violence à l’égard des femmes ce samedi 12 mars 2016, le président de la Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme (LTDH), Abdessattar Ben Moussa, a signalé qu’il y a un amalgame entre la violence légale et la torture.
Selon Ben Moussa, l’agent sécuritaire n’a pas le droit d’avoir recours à la torture pour dévoiler les circonstance d’un crime terroriste. Insistant, dans le même contexte, sur la nécessité de former les enquêteurs spécialistes.