Dans une réaction à l’affaire de la militante franco-algérienne Amina Bouraoui ayant fait couler beaucoup d’encre en Tunisie, le juriste Amine Mahfoudh a écrit, ce jeudi 9 février, sur sa page facebook : “défendre les droite et les libertés quelle que soit la personne ou la situation est une question de principe loin de tout chantage. L’affaire de Mme Bouraoui a confirmé que la Tunisie n’est pas souveraine et elle est effectivement une partie du monde arabo-musulman et l’une des victimes des ennemis de la liberté et des Droits de l’Homme”.