Dix agents de la sécurité Nationale travaillant aux services techniques de l’institution sécuritaire relevant du ministère de l’intérieur, accusés d’être derrière la fuite de documents concernant des notes d’écoute téléphonique de l’homme d’affaires Chafik Jarraya avec l’islamiste libyen Abdelhakim Belhadj, ont été transférés devant les unités de la brigade antiterroriste, rapporte le journal arabophone Assarih dans son édition de ce samedi 14 mars 2015.
Rappelons que lors d’une conférence de presse tenue vendredi 13 mars 2015, l’homme d’affaires tunisien Chafik Jarraya a affirmé qu’il a porté plainte contre l’administration générale de la sécurité nationale pour avoir mené des écoutes téléphoniques sans autorisation judiciaire.
H.B.H