Dans un communiqué publié vendredi 3 janvier, la fédération nationale de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique a demandé d’infliger les plus lourdes peines au professeur accusé de harcèlement sexuel après s’être assuré de sa culpabilité.
Cet enseignant est soupçonné d’avoir usé de son pouvoir pour harceler des étudiantes inscrites à l’école normale supérieure.
Dans ce communiqué, la fédération met en garde contre l’implication d’une minorité d’enseignants dans des affaires de harcèlement sexuel, ce qui risque de porter de graves préjudices au métier d’enseignant et de consacrer une culture « macho ».
Ces accusations de la part de certaines étudiantes de l’école normale sup remontent à l’année 2017.
Ces mêmes étudiantes ont porté plainte auprès de l’administration de leur école au début du mois de décembre dernier.
H.A.