Si le Ramadan a constitué, pour certains, une période d’excès en matière d’alimentation, l’Aïd Al Fitr n’échappe pas à la règle. Comment ne peut-il pas l’être : avec les innombrables spécialités culinaires sucrées tunisiennes, il est parfois difficile de résister à la tentation après près 29 jours de jeûne.
L’institut National de la nutrition a mis en garde contre les abus, dans son dernier communiqué, causés par le changement brutal dans notre mode d’alimentation. Il faut commencer en douceur selon l’Institut, car il est possible de subir des problèmes de digestion en raison du retour à la normale dans le rythme des repas.
De ce fait, il est conseillé de manger des repas équilibrés et de minimiser la consommation du sucre et, surtout des boissons gazeuses. Il est aussi recommandé de bien s’hydrater et d’opter pour une bonne quantité de fruits et légumes, en plus de la réduction de la consommation de la viande rouge. Tout cela est dans l’objectif de permettre aux reins de se reposer selon l’Institut national de la nutrition.
D’autre part, les parents sont appelés à sensibiliser leurs enfants à la consommation des sucreries de l’Aïd Al Fitr. Dans ce contexte, il est conseillé d’éviter de leur acheter les aliments importés et exposés aux rayons du soleil et à la pollution.
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