Dans une déclaration à Mosaïque FM, le porte-parole du Tribunal de première instance de Kasserine, Riadh Nouioui, a nié tout rapport entre l’arrestation, ce mardi 22 novembre à Kasserine, de huit cadres avec la fameuse affaire du complot contre la sûreté de l’Etat.
S’agissant de l’arrestation des cinq de ces cadres accusés de tenir des réunions secrètes, Riadh Nouioui a révélé que les enquêteurs ont découvert des conversations privées enregistrées sur leurs téléphones avec trois personnes suspectées de sabotage des élections du Conseil national des régions et districts. Le continu de ces conversations représente également selon le porte-parole du Tribunal de première instance de Kasserine « un délit d’offense au président de la République ».