Le chef du gouvernement provisoire Mehdi Jomâa a avoué lors de son discours prononcé, dans la soirée du jeudi 17 Juillet 2014, suite à l’attentat terroriste du Mont Châambi, que le ministère de l’Intérieur avait mis en garde les unités militaires et sécuritaire contre une éventuelle menace terroriste et ce après les investigations avancées.
En dépit de la lourdeur des pertes humaines, le premier ministre a indiqué que «plusieurs opérations terroristes n’ont pas vu le jour grâce aux gros efforts fournis par le gouvernement provisoire» avant d’ajouter que le combat contre le terrorisme a un prix et entrainera des pertes humaines.
La découverte et le démantèlement des réseaux de jihad vers la Syrie, la mise en place d’un dispositif de sécurisation des frontières terrestres des aéroports et des ports où la sécurité a été renforcée, la coopération sécuritaire avec le voisinage… Nombreuses sont les arguments avancés par Mehdi Jomâa pour assurer les tunisiens des efforts de son gouvernement.
Cependant, «les besoins matériel constituaient le principale obstacle au développent du travail sécuritaires» a-t-il dit avant de appeler l’Assemblée Nationale Constituante a adopté, le plutôt possible, la loi anti-terroriste.