Kaspersky participera pour la première fois au Forum sur la Gouvernance de l’Internet (IGF), organisé par les Nations Unies. Ce 15ème rendez-vous se déroulera en ligne du 2 au 17 novembre 2020 et portera sur le thème de l’Internet pour la résilience et la solidarité. Dans le cadre de l’IGF 2020, l’expert mondial en cybersécurité Kaspersky prendra part à plusieurs temps forts dédiés à la sensibilisation du public, à la transparence et à la coopération internationale dans la lutte contre les cybermenaces.
L’année 2020 a vu s’accentuer la dépendance de chacun à Internet – particuliers, entreprises, organisations. Associée à l’augmentation rapide des activités criminelles en ligne, ce phénomène de dépendance a rendu la cybersécurité encore plus nécessaire pour garantir la sécurité d’Internet. Dans sa volonté de construire un monde plus sûr, Kaspersky souhaite encourager à une conversation mondiale entre différentes parties prenantes – y compris les décideurs politiques – autour de l’importance d’un élargissement de la coopération internationale, afin de relever les défis mondiaux en matière de sécurité numérique.
Eugène Kaspersky, PDG de Kaspersky, s’exprimera ainsi le 13 novembre pour réaffirmer la nécessité d’une coopération à l’échelle internationale pour la mise en place de politiques mondiales de cybersécurité. L’entreprise organisera également une table ronde autour des logiciels espions utilisés à des fins de harcèlement (stalkerware), en collaboration avec la Coalition contre les Stalkerwares. Un atelier sur la garantie et la transparence dans la sécurité de la chaîne d’approvisionnement des technologies de l’information et de la communication (TIC) sera également organisé avec d’autres partenaires. En outre, les best-practices de Kaspersky et de ses parties prenantes, en matière de transparence & résilience seront représentées dans un stand en ligne.
« La cybersécurité est un facteur de réussite et de durabilité de la transformation numérique, qui s’est révélée d’autant plus centrale, dans le contexte de la pandémie mondiale. C’est pourquoi la coopération internationale visant à assurer un développement stable et sûr du cyberespace est d’autant plus cruciale. Nous avons décidé de nous joindre à l’IGF 2020 parce qu’il rassemble diverses communautés, régions et dirigeants pour discuter des problèmes urgents auxquels le cyberespace est confronté et parce qu’il incite les décideurs des secteurs public et privé à agir. Nous sommes honorés de participer à ce dialogue international et de contribuer à la construction d’un cyberespace sûr et fiable, pérenne et ouvert à tous », commente Eugène Kaspersky, PDG de Kaspersky.
« Malgré les nombreux défis qu’elle suppose de relever par ailleurs, la pandémie a aussi souligné l’importance d’avoir accès à un Internet sûr et ouvert. Les discussions de l’IGF 2020 engageront certains des dirigeants et des experts les plus éminents dans un dialogue qui fera le point sur un large éventail de perspectives toutes axées sur la façon dont les technologies numériques et les politiques connexes doivent aider les sociétés et les individus à devenir plus résilientes », souligne Chengetai Masango, Chef du Secrétariat de l’IGF aux Nations Unies.
L’IGF 2020 regroupera plus de 200 sessions, organisées autour de quatre grands axes : les données, l’environnement, l’inclusion, la confiance. Seront également à l’honneur le thème de la coopération numérique et la feuille de route du Secrétaire Général des Nations Unies pour la coopération numérique. Le Forum proposera également une table ronde dédiée aux gouvernements pour discuter de la notion de confiance dans le cadre de la pandémie de Covid-19. L’IGF compte traditionnellement plus de 3 000 participants sur place en moyenne, et un nombre similaire de participants en ligne. Pour cette année, l’organisation des Nations Unies s’attend cependant à accueillir un plus grand nombre de participants en ligne, avec des représentants gouvernementaux, des organisations internationales & régionales, des représentants de la société civile, des universités, des entreprises et des experts techniques attendus.
D’après Communiqué