Ce qui pose problème
Après des mois de travaux, l’Assemblée nationale constituante (ANC) a finalement rendu son troisième brouillon. Depuis, analysée et décortiquée, la Constitution fait l’objet de toutes les attentions. Et la polémique…
Après des mois de travaux, l’Assemblée nationale constituante (ANC) a finalement rendu son troisième brouillon. Depuis, analysée et décortiquée, la Constitution fait l’objet de toutes les attentions. Et la polémique…
Suppression des publicités, nominations de personnalités proches du pouvoir à la tête des journaux, création de nouvelles chaines de télévision…
Deux ans après la Révolution et à la veille de la Journée mondiale de la liberté d’expression (3 mai), cette liberté se trouve aujourd’hui en danger, le vide juridique plane toujours sur le secteur, les attaques contre les journalistes se poursuivent et l’on menace actuellement de revenir sur les quelques acquis qui ont été obtenus. Focus
Le troisième projet de la Constitution, publié il y a quelques jours, n’a laissé personne indifférent. Cette version qui vient de voir le jour après un “travail colossal” a suscité une grande polémique et a ouvert la porte devant une campagne d’accusations.
Les troubles sociaux du Bassin minier de Gafsa ont coûté au Groupe chimique tunisien (GCT) et à la Compagnie des phosphates de Gafsa (CPG) des pertes de l’ordre de 2 milliards de dinars depuis 2011. Le tourisme a perdu depuis la Révolution deux millions de visites se traduisant en millions de dinars.
Un des objectifs de la Révolution consiste à promouvoir le développement régional ; or le développement des régions ne peut être efficace et durable s’il est conçu à partir d’un saupoudrage de projets et d’activités implantés ici ou là, à la faveur des initiatives des uns et des autres.
Le Forum tuniso-français jeunesse 2013, tenu à Monastir, du vendredi au dimanche 21 avril, organisé conjointement par l’ambassade de France et des associations tunisiennes, a réuni près de 400 jeunes des deux rives de la Méditerranée et différentes associations. La question de l’engagement citoyen a été placée au cœur du débat. Éclairage.
La journée mondiale de la liberté de la presse sera bientôt célébrée. En Tunisie, le constat est plutôt décevant. Appelé à jouer un rôle déterminant lors de la transition démocratique, le «quatrième pouvoir» est menacé par plusieurs facteurs. Focus.
L’ennemi le plus résolu de la Révolution est bien cette voyoucratie qui fait régner le chaos dans nos villes et dans nos quartiers quand bon lui semble ; ce qui s’est produit à Bizerte montre que l’heure n’est plus aux débats de salons : quand une ville de plus de 100 000 habitants est, durant plusieurs jours, l’otage d’une bande d’excités déterminés à semer la peur dans le cœur des citoyens, seules les réponses musclées doivent prévaloir.
L’administration tunisienne jouit d’une excellente réputation en matière de gestion des projets de développement auprès des bailleurs de fonds internationaux.