Crime ou châtiment ?
Peut-on vraiment débattre de l’abolition de la peine capitale en Tunisie ? Les difficultés posées juridiquement par la conciliation entre les droits de l’homme et le droit arabe posent aujourd’hui problème.
Peut-on vraiment débattre de l’abolition de la peine capitale en Tunisie ? Les difficultés posées juridiquement par la conciliation entre les droits de l’homme et le droit arabe posent aujourd’hui problème.
La colonie tunisienne installée à l’étranger représente 10% de la population et si elle est composée de 30% de bi-nationaux, du moins pour celle qui est implantée en France. Elle reste attachée dans l’ensemble par plusieurs liens solides avec la mère-patrie.
Deux hauts fonctionnaires du ministère des Affaires Etrangères du Royaume Uni se sont déplacés à Tunis récemment pour prendre contact avec les autorités tunisiennes et mieux connaître la situation politique et socio-économique du pays plus d’un an après le déclenchement de la Révolution.
Le débat sur les politiques économiques dans le monde est en train de prendre de nouvelles tournures après les élections françaises et grecques et les dernières réunions du G8.
Projeter un éclairage sur une société mohamétane à travers un verre de vin, ce breuvage haram, pourrait sembler inapproprié. Mais là c’est ignorer la méthode, le génie et l’outil de la sociologie.
Sur le problème de la santé, comme sur le reste, les grandes décisions sont encore devant nous. Notre pays pourra difficilement faire l’économie d’une thérapie de choc s’il veut rattraper les retards pris dans le domaine de la santé. Nos hôpitaux sont malades, nos éminences grises fuient l’étatique, notre population, et surtout la plus démunie d’entre elle, est désemparée tant elle a de plus en plus mal à obtenir des soins de qualité
Dieu merci, presque tout le monde reconnaît, désormais, qu’il y a un danger salafiste en Tunisie ; les dernières déclarations du chef du gouvernement et de son Premier ministre renferment une condamnation des dérives sectaires et une mise en garde vigoureuse contre les « poilus » en kamis.
CAS est une société d’assistance dans le secteur médical avec ses multiples facettes.
Entreprise tunisienne créé en 1995 CAS assume un rôle pionnier dans le domaine des services de santé et fait partie d’un groupe international de renom.
Après une première édition organisée en 2011 axée sur l’emploi, la deuxième session d’Orange Mobility Forum de cette année a choisi le thème de la mobilité au service du citoyen. En effet, selon Thierry Marigny, le Directeur général d’Orange Tunisie, celle-ci suit ce qui se passe en Tunisie.
Les revendications des médecins hospitalo-universitaires, ne datent pas d'aujourd'hui. Elles ont commencé il y a quelques années sous l'ère Ben Ali. En 2010, un accord aurait été trouvé, mais mis en stand by.