samedi 28 novembre, le président russe, Vladimir Poutine, a adopté des sanctions économiques contre la Turquie, en réponse à la destruction d’un chasseur bombardier Su-24 russe par des avions de chasse turcs, mardi 24 novembre, au-dessus de la frontière syrienne.
Ces sanctions comprennent, l’interdiction des vols charters entre la Russie et la Turquie, l’interdiction aux employeurs russes d’embaucher des travailleurs turcs à partir du 1er janvier, ou encore l’interdiction des importations de certaines marchandises turques, selon le texte du décret publié par le Kremlin, rapporte Le Monde.