Dans un communiqué rendu public ce lundi 31 janvier 2022, le collectif « Avocats pour les droits et libertés » a dénoncé fermement la décision du ministère des affaires religieuses datant du 27 janvier courant relative à la prolongation de deux semaines de la suspension de la prière du vendredi. Dans ce même communiqué, le collectif « Avocats pour les droits et libertés » a considéré que cette décision constitue une violation de l’article 6 de la constitution et porte atteinte à la liberté de croyance, de conscience et de l’exercice des cultes. Le même communiqué a noté que ces restrictions sanitaires ne concernent que les musulmans ajoutant que les rassemblements religieux des autres communautés ainsi que les activités économiques, sociales, culturelles et éducatives n’ont pas été interdits.
28