Une candidate malvoyante est autorisée à se servir d’une tablette numérique, comme a indiqué Omar Ouelbani, le directeur général des examens au ministère de l’Education, lors d’une conférence de presse.
Cette possibilité d’avoir recours à la tablette numérique par la candidate se limitera, selon lui, à l’agrandissement du texte, sachant qu’elle a refusé de se faire accompagner par un autre élève pour l’aider et a préféré compter sur ses propres moyens.
Il s’agit d’une mesure visant à consacrer les principes de l’équité et de l’égalité des chances entre les candidats, comme l’a précisé Ilhem Barboura, la chargée de mission au cabinet du ministre de l’Education.