Dans le cadre de la rencontre annuelle qu’il organise, le Comité international de la Fondation Oasis s’est réuni de nouveau et cette fois-ci à Tunis, le lundi 18 et le mardi 19 juin 2012, à l’hôtel Africa, sur le thème «La religion dans une société en transition : comment la Tunisie interpelle-t-elle l’Occident ?».
La revue littéraire française «Missives» a consacré son numéro 264 de mars 2012 aux poètes et écrivains tunisiens dans une tentative de célébrer la Révolution en Tunisie.
Monumenta est une exposition d’art contemporain. Organisée à l’initiative du ministère de la Culture et coproduite par le Centre national des Arts plastiques (CNAP) et la Réunion des musées nationaux.
Nacer Khémir a préféré orienter sa création «le burnous» vers le sens du mur. L’un des murs du palais El Abdellia à la Marsa où s’est tenue la dixième édition du «Printemps des arts».
Le week-end a été chaud au Centre culturel Dar Chérif à Djerba ! Le public a pu goûter à une soirée latino de haute facture, animée par le vénézuélien de renommée internationale, Orlando Poleo et son orchestre Chaworo.
La BNA, partenaire officiel du Comité national olympique tunisien «CNOT»
La BNA se lance dans une nouvelle stratégie de communication ayant principalement pour objectifs de renforcer son identité, de consolider sa notoriété et de véhiculer l’image d’une banque jeune, moderne et citoyenne.
La CTN assure neuf voyages par semaine pour assurer le trafic de marchandises grâce à sa flotte composée des quatre bateaux outre un bateau affrété.
Les évènements révolutionnaires et les transitions démocratiques que connaît la région arabe depuis le début de l’année 2011 ont remis la lutte contre la corruption au 1er plan des préoccupations et des programmes de réformes.
Le groupe Tunisie-Télécom a organisé un workshop international de haut niveau les 18 et 19 juin à Tunis ayant pour thème le “cloud computing” en coopération étroite avec l’UIT (Union internationale des télécommunications).
Hier, Ben Ali voulait asservir la religion à la politique. A «sa» politique. L’issue de cette imposture est connue. Aujourd’hui, l’islamisme radical tente d’asservir la politique à la religion, plus exactement à «sa» propre lecture de la religion et il y a fort à parier que cette posture est également promise à l’échec.