Farouk Ksentini, le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des Droits de l’Homme (CNCPPDH) a remis récemment son rapport au président Abdelaziz Bouteflika. Malaise et détresse de la jeunesse, situation des détenus et des internés, de nombreux sujets ont été abordés et de nombreuses critiques émises.
Les «petites bonnes», une fois encore au cœur de l’actualité
Il a tiré la sonnette d’alarme. Le collectif pour l’éradication du travail des «petites bonnes» a rappelé au cours d’une rencontre que des milliers de fillettes étaient quotidiennement exploitées au Maroc. L’adoption d’une loi les protégeant est plus que jamais d’actualité.
Une des faiblesses de notre économie réside dans le manque de densité du tissu entrepreneurial, or ce sont les entreprises qui créent la prospérité : production de biens et de services et par la suite elles créent l’emploi, distribuent des salaires, assurent la promotion de l’exportation.
Nous sommes persuadés qu’un des prochains – très – grands chantiers tunisiens sera la construction d’une grande route côtière joignant Bizerte à Tabarka avec pour objectif la mise en valeur de la région du littoral Nord. La Côte du corail «répondrait» à la Côte d’Azur !
Suite à la baisse de la notation de la dette de la Tunisie de 2 crans passant de BBB- avec perspective négative à BB avec perspective stable, par Standard and Poor’s, la Tunisie descend de la partie investissement à celle de spéculation.
On propose de parler le langage de la raison à ceux qu’on appelle les salafistes djihadistes qui sont la cause de violences de plus en plus fréquentes et qui entretiennent un climat d’insécurité dans le pays, mais si la raison les commandait, ils perdraient toute raison d’être.
A l’annonce de la grève du personnel hospitalier, le ministère de la Santé a exprimé sa «surprise» et son «regret», se déclarant «ouvert aux discussions et aux négociations à tout …
Les médecins, médecins dentistes et pharmaciens étaient en grève les 30 et 31 mai. Le mouvement qui a connu une mobilisation sans précédent traduit le malaise, si ce n’est le ras-le-bol, de tout un secteur, en «mal de reconnaissance». Et il n’est pas le seul…
«On fera une seconde révolution si justice n’est pas rendue aux martyrs»
Dans la ville où sept martyrs sont tombés, le temps semble s’être arrêté. Alors que les plaidoiries du procès du Kef viennent de s’arrêter, les familles s’inquiètent de l’issue d’un procès qui ne mettra pas à jour «la vérité».
La colère gronde dans les régions. En cause, un ralentissement dans la réalisation des projets de développement et l’insécurité qui prend de l’ampleur. Une visite dans le Nord-ouest de la Tunisie, en l’occurrence au Kef, Dahmani, Jendouba et Thala, le confirme.