« Elle aurait dû faire preuve de retenue et de sagesse. Son départ a perturbé le déroulement du congrès », a déclaré Sami Fatnassi, qui considère l’acte de la présidente comme une humiliation pour la région.
Dans ce contexte, une source de l’UTICA a déclaré à Réalités Online que l’atmosphère n’était pas propice à la tenue du congrès, puisque l’ambiance était marquée par des violences verbales. Ces violences verbales perpétrées par des membres régionaux ayant contesté la validation des résultats de l’élection de la commission de contrôle. « Certaines candidatures pour la commission de contrôle n’ont pas été retenues. Pourtant, la commission chargée des élections a validé ces candidatures, ce qui a irrité certains membres », nous explique la source de l’UTICA. Cette atmosphère électrique n’a donc pas permis la poursuite des travaux.