Nous sommes tous des Abdelfattah Mourou !
Le geste du Cheikh Abdelfattah Mourou qui s’est dressé pour défendre la liberté de parole de Youssef Seddik dont il est loin de partager la pensée, mérite d’être salué comme…
Le geste du Cheikh Abdelfattah Mourou qui s’est dressé pour défendre la liberté de parole de Youssef Seddik dont il est loin de partager la pensée, mérite d’être salué comme…
Le projet de la nouvelle instance indépendante des médias vient d’être approuvé par la commission des instances constitutionnelles au sein de l’ANC. Cette instance se veut un outil de contrôle et de régulation du secteur.
Le constat est sans appel, si l’article au sujet de la liberté d’expression a été gagné de justesse, le travail de la commission des libertés ne s’est pas fait sans heurts. Sur les 28 articles proposés, seuls 11 ont fait vraiment l’objet d’un consensus.
A l’origine de la polémique une étincelle : la démission du ministre de l’Economie et des Finances, M. Houssine Dimassi de son poste. Mais en réalité, voilà des semaines, que la question de l’indemnisation crée des vagues.
Les quelque trente années qui suivent la mort du prophète sont déterminantes pour l’histoire de l’Islam. Elles ouvrent une période d’expansion et de conquête mais surtout, avec la question de la succession, elles sont à l’origine de la profonde division du Monde musulman, encore souvent vécue de manière combative.
Les droits des minorités et la lutte contre toute forme de discrimination est un sujet qui revient fréquemment dans l’actualité. La notion est de plus en plus discutée au sein de l’Assemblée. Et pourtant, peut-on vraiment parler de minorités religieuses et ethniques en Tunisie quand la loi tout comme la société ignorent leur existence?
On les avait presque oubliés, tant ils s’étaient faits discrets ces derniers temps. Pourtant, avec l’arrivée de Ramadan, les salafistes commencent à s’activer, notamment dans les mosquées, mais pas seulement. Serait-ce le calme avant la tempête ?
Face aux promesses françaises de soutenir la Tunisie dans cette phase de transition, Moncef Marzouki a formulé l’espoir que cela n’allait pas «s’arrêter aux bons sentiments».
L’élection des membres du Conseil de la choura s’est achevée tandis que la désignation des membres continue. Parmi les nouveaux élus, deux figures connues en raison du militantisme de leurs pères respectifs, Ali Larrayedh et Oussama Ben Salem. Sauront-ils se défaire du cliché «fils de»?
Près de neuf mois après les élections, où en est le travail de l’Assemblée ? On annonce pour fin juillet une première version de la Constitution ainsi que la remise des premiers travaux des différentes commissions.