Arrestations, procès, menaces de mort, nominations partisanes, politique ambigüe face au terrorisme. Un climat délétère s’installe dans une Tunisie qui ne sort toujours pas de la crise politique depuis l’assassinat …
A la Une
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Le ministre de l’Intérieur, Ben Jeddou, a, au moins, deux bonnes raisons de démissionner : la première tient à l’assassinat de Mohamed Brahmi
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«La Tunisie se dirige-t-elle vers le chaos à l’égyptienne ? » Se demande Vivienne Walt au tout début de son article pour TIME Magazine sur le drame que vit la …
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L’assassinat de l’opposant et député Mohamed Brahmi, tué par 14 balles devant chez lui dans la journée du jeudi 25 juillet 2013, a soulevé l’indignation des Tunisiens. Horreur de l’acte
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La montée de la violence au sein de la société tunisienne (assassinats de l’opposant Mohamed Brahmi et de huit soldats de l’armée), loin de se traduire par des réflexes d’unité …
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Lotfi Naguedh, Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi. L’ère des assassinats politiques a commencé en Tunisie. Pour quelles raisons et qui se cache derrière ?
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Les Tunisiens l’ont connu à travers ses interventions à la télévision et à l’ANC. Ils en gardent l’image d’un homme souriant, chaleureux et courageux qui
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Au discours musclé d’Ali Laâriyedh, chef du gouvernement, du lundi 29 juillet, l’opposition a répondu en maintenant ses positions quant à la dissolution du gouvernement et de l’ANC.
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Depuis décembre dernier, la poursuite des présumés terroristes se poursuit dans les montagnes aux confins tuniso-algériens.
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La Troïka a tué Brahmi deux fois ; la première fois en étant complice des assassins et la seconde en se disculpant de sa responsabilité par le mensonge.