Festival de Carthage , Les problèmes commencent !
La semaine passée, deux spectacles ont suscité la polémique au Festival international de Carthage, «Tsunami» de Fadhel Jaibi et «El Hadhra» de Fadhel Jaziri. Le premier par son contenu
La semaine passée, deux spectacles ont suscité la polémique au Festival international de Carthage, «Tsunami» de Fadhel Jaibi et «El Hadhra» de Fadhel Jaziri. Le premier par son contenu
Je quitte souvent la ville européenne et m’enfonce dans la médina, où certaines mœurs, tombées en désuétude, s’effacent plus lentement. Dans cette atmosphère apaisante et spirituelle survit et s’exhibe encore un mode de vie particulier qui
Dans un moment de solitude au bureau, je parcours un recueil de poésie. J’y trouve un poème, ou plutôt une chansonnette, écrite en dialectal par un poète tunisien origina
Deux lieux en libre accès pour une double proposition, Loris Gréaud expose à la fois sous la pyramide du Louvre et au forum du Centre Pompidou.
L’ouverture de la 49e édition du Festival International de Carthage avec les Chœurs de l’Armée rouge était spectaculaire. Un show d’une heure et demie où se mêlait danse, chansons classiques et modernes, opéra et chants militaires. Du pur plaisir pour un public remplissant pratiquement tous les gradins du Théâtre romain de Carthage !
Michel Winock porte son regard d’historien sur la vie tout entière dévouée à la littérature de Flaubert. Il suit l’écrivain dans ses vagabondages de jeunesse, décrit ses amours désordonnées, l’accompagne dans les salons parisiens et relate ses ferveurs en amitié.
Parlant de ce que nous appelons le Big Bang, Allah dit “Ceux qui ont mécru, n’ont-ils pas vu que les cieux et la Terre formaient une masse compacte ? Nous les avons séparés et fait de l’eau toute chose vivante ? Ne croiront-ils donc pas ?” S21,V30.
Jamais encore la Comédie-Française n’avait inscrit à son répertoire une pièce de langue arabe. Voilà chose faite avec Rituel pour une métamorphose du dramaturge syrien Saadallah Wannous (1941-1997), son ultime texte de théâtre, insolent, cruel, incandescent.
Dans un demi-sommeil, dans celui où les idées se bousculent, toutes plus insolites les unes que les autres, une réflexion m’est venue à l’esprit, saugrenue et étrange. Elle consistait en ceci : si «on» me donnait le choix de revenir sur Terre après ma mort, quand je déciderais-je de le faire ? Dans cent ans, dans mille ans… ?
Le 26 juin 2013, l’École de Blata, de la délégation de Sbikha, à quelque 30 km au nord-est de Kairouan, a vécu une journée particulière.