The Killing est le remake américain d’une série danoise Forbrydelsen. Et comme au Danemark, ils n’ont pas le budget des networks américains, ils compensent en axant le travail scénaristique sur une donnée moins spectaculaire mais non moins efficace : l’humain.
Un livre composé d’illustrations photographiques. Quoi de mieux qu’une œuvre somme pour (re)découvrir les particularités architecturales et urbanistes de la Tunisie ? Tunis, l’orient de la modernité, offre une virée étonnante entre lieux connus et découvertes.
Adonis publie un recueil d’articles politiques. La plupart des vingt-quatre textes réunis ici sont parus au cours des trois dernières années dans As-Safir, Al-Hayat, An-Nahar, Al-Quds Al-Arabi, etc.
La Dame à la licorne est de retour dans le vieux Quartier latin, près de la mystique Tour St Jacques et de la savante Sorbonne.
Université, amphithéâtre, face à des étudiants. Will Mc Avoy, présentateur vedette du journal de la chaine AWC, participe à un débat politique avec deux élus, l’un démocrate, l’autre républicain. Lessivé, il écoute le débat l’air absent.
Vous entendrez tout genre de superlatifs au sujet de 12 years a slave qui n’est pas seulement un grand film, c’est surtout une œuvre nécessaire.
Il est probable qu’en attendant le quatrième opus de Arcade Fire, le bien nommé Reflektor, vous vous êtes demandé si ce nouvel album des Canadiens serait à la hauteur de leur phénoménale réputation…
Le monde des beaux arts vient de perdre une personnalité éminente qui a beaucoup contribué à l’essor des arts plastiques en Tunisie. Hamadi Chérif a succombé le 10 février à une hémorragie interne mettant fin à un parcours hors du commun d’un galeriste tunisien qui a pu travailler avec des grands galeristes du monde et qui a ouvert et dirigé des galeries à Bales, Paris, Mougins, Beyrouth…
Ce matin, comme tous les matins, après avoir allumé mon ordinateur je lance machinalement le browser Internet, et j’ouvre Google, puis Facebook, puis Twitter.
À force de subir des houles déferlantes de décibels à longueur de journées, l’on est amené à ressentir une nostalgie certaine pour les sons cuivrés, les percussions langoureuses et les plages d’évasion.