Égypte: une loi sur le droit de manifester attise les controverses
Aujourd’hui les militants égyptiens sortent de nouveau dans la rue protestant contre la loi relative aux manifestations.
Aujourd’hui les militants égyptiens sortent de nouveau dans la rue protestant contre la loi relative aux manifestations.
Le Maroc continue à s’imposer dans la région. Cinéma, industrie, économie, opportunités d’investissements, tourisme et partenairiat dans la lutte contre le terrorisme, en constituent les points de force. Appuyé par Washington dans son plan d’autonomie du Sahara et considéré comme un allié stratégique au Maghreb, le royaume se trouve aujourd’hui sur tous les fronts…
Face au rapprochement Rabat – Washington, l’Algérie conserve «sa ligne diplomatique» et continue à travailler en étroite collaboration avec la France. Les sujets discutés entre le président américain et le souverain marocain reflètent les mêmes enjeux qui animent la France et l’Algérie.
Bien que des milices aient accepté de se retirer hors de Tripoli, dont 3000 militaires assurent désormais la sécurité, la Libye ne cesse de s’enliser peu à peu dans l’insécurité, et le chaos. Des citoyens se trouvent contraints de se munir d’armes pour se protéger. Ainsi, Souad Soltane, membre du Conseil général libyen s’est dotée d’une grenade pour faire face à d’éventuels dangers.
Où sont passés les Qataris ? Autrefois omniprésents, le petit Émirat se fait discret depuis la passation de pouvoirs – soigneusement orchestrée une fois n’est pas coutume – entre père et fils au mois de juin dernier.
Le Président français, François Hollande, a effectué une visite de trois jours en Israël. Arrivé dimanche, il s’est rendu lundi à Ramallah où il a rencontré son homologue palestinien, Mahmoud Abbas.
Se rétablissant d’un AVC et au pouvoir depuis 1999, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a, quand même, été désigné samedi dernier par le Front de Libération nationale (FLN), le parti majoritaire algérien, comme candidat à un quatrième mandat. Lui-même ne s’est pas encore prononcé sur sa candidature.
«Quis custodiet ipsos custodes ? » – mais qui gardera ces gardiens ? La question, posée au premier siècle de notre ère par le poète romain Juvénal, est encore d’actualité. Et notamment à la lumière de l’affaire dite « Gategate », cet incident peu édifiant que j’avais relaté dans ces colonnes un an auparavant. Pour ceux qui l’auraient oublié, récapitulons.
L’Iran subit depuis quelques années de nombreuses sanctions à cause de son programme nucléaire. Le peuple iranien en paye le prix et la société s’effondre sous le poids des sanctions économiques imposées. Outre les crises diplomatiques avec les grandes puissances occidentales, la menace de frappe israélienne plane tous les ans sur l’Iran.
Quelques mois avant les échéances présidentielles algériennes, les candidatures commencent à se faire annoncer. Même si les rumeurs fortement propagées confirment la candidature du président actuel, Abdelaziz Boutaflika et qu’en Algérie le président devrait être appuyé par les généraux, l’ambition ne manque pas à l’élite algérienne.