Encore une semaine perdue
En gros, on peut dire que la semaine écoulée s’est déroulée comme la précédente, c’est-à-dire dans un fatras de rencontres bi ou multilatérales qui n’ont débouché sur rien, ci ce…
En gros, on peut dire que la semaine écoulée s’est déroulée comme la précédente, c’est-à-dire dans un fatras de rencontres bi ou multilatérales qui n’ont débouché sur rien, ci ce…
Il y a trois semaines, je me demandais dans les pages de REALITES si Ennahdha était à même d’éviter à la Tunisie de prendre le chemin du drame égyptien, en précisant les conditions impératives pour éviter un tel drame.
L’UTICA et l’UGTT, deux organisations historiques du pays, ont décidé dans un moment également historique de s’allier pour défendre l’intérêt de la Tunisie. Une alliance jugée contre-nature par certains entre deux organisations ayant des intérêts différents et dont les chemins n’étaient pas censés se croiser. Analyse
Par Vincent Geisser* Tout le monde s’accorde à reconnaître qu’Azza Turki était une journaliste modèle, soucieuse de mettre son éthique professionnelle au service de la démocratie tunisienne, et refusant…
Je ne me souviens pas si c’est dans une publication locale ou internationale que j’ai été frappé par le titre d’un article relatif à la rencontre secrète de Béji Caïed Essebsi et Rached Ghannouchi à Paris, révélée au grand public le I9 courant. Ce titre était Quand deux prédateurs se rencontrent et l’article révélait les dessous de cette rencontre et de ce lieu inattendus.
La crise politique actuelle a révélé encore une fois la capacité d’Ennahdha à accomplir des manœuvres au lieu de proposer de vraies solutions pour sortir le pays du marasme dans lequel il se trouve depuis deux ans. Une constante dans sa démarche. Mais les risques deviennent réellement importants.
La mobilisation déclenchée par l’assassinat du constituant Mohamed Brahmi le 25 juillet 2013, environ six mois après celui de Chokri Belaïd, réclamant la dissolution du gouvernement et de l’ANC
Une question quelque peu perdue de vue alors que le pays est empêtré depuis des mois dans des difficultés sans fin et qu’il semble aller à la dérive. Une question d’autant plus importante qu’elle intervient juste au moment où l’ancien président égyptien Hosni Moubarak est libéré sous condition et que son pays se trouve pris dans un tourbillon de violences.
L’élection des membres du Conseil de la choura s’est achevée tandis que la désignation des membres continue. Parmi les nouveaux élus, deux figures connues en raison du militantisme de leurs pères respectifs, Ali Larrayedh et Oussama Ben Salem.
Il faut appeler un chat un chat et un terroriste un terroriste ; ceux qui, aujourd’hui, mettent à feu et à sang l’Égypte sont des terroristes et doivent être traités comme tels.