Il parait que le laxisme des autorités devant les tartufferies de l’extrémiste Adel Almi, qui à chaque mois de Ramadan, se lance dans la chasse des non jeûneurs, a poussé les Tunisiens qui ne font pas le Ramadan à se défendre eux même.
Cet individu qui se présente en tant que Président de « l’Association centriste pour la sensibilisation et la réforme » et du parti politique « Tounes Zaytouna », menaçant la sécurité nationale et s’attaquant aux libertés individuelles, a été recadré par des non-jeûneurs lorsqu’il a fait irruption, vendredi 19 mai 2018, dans un café populaire à Bab El Khadra. Selon des témoins, Almi a été violemment agressé et séquestré pendant quelques temps dans le café précité.
Les internautes ont en effet imputé la responsabilité de ce genre d’incident aux autorités sécuritaires qui ont frayé la voie à un charlatan de fourrer son nez dans la vie privée des citoyens.
Rappelons que le nom de ce tartuffe a été cité dans la liste des personnalités prises au piège par la caméra cachée, (Shalom) et auraient accepté de coopérer avec l’État sioniste en contre-partie d’une importante somme d’argent.
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