En marge d’un atelier de formation des cadres syndicaux, tenu ce dimanche 16 septembre 2018 à Sousse, dans le cadre d’une coopération entre l’INLUCC et l’UGTT, le président de l’Instance nationale de lutte contre la corruption, Chawki Tabib a affirmé que la corruption est une maladie dangereuse qui gangrène l’Etat, et qu’on ne la découvre malheureusement qu’à son dernier stade. Chose qui complique, selon lui, « la guérison ». Tabib a durant son intervention souligné que la Tunisie est arrivée à une étape où elle doit éradiquer foncièrement ce mal qu’est la corruption, indiquant que les résultats de cette éradication ne sont pas garanties à 100%.
Le président de l’INLUCC a ajouté que son instance et le chef du gouvernement ne peuvent pas lutter tous seuls contre la corruption. C’est une mission à laquelle toute la société doit contribuer.
Tabib a conclu son intervention par: » Vive l’UGTT, la plus grande force du pays qui résiste à la corruption. »