« En signe de consolidation de sa position historique et ferme envers la cause palestinienne, la Tunisie continue de suivre les agressions flagrantes commises contre le peuple et le territoire palestiniens et les pratiques provocatrices et répressives de l’occupant et la violation, par ce dernier, du caractère sacré des lieux saints à travers des plans visant à modifier le statut historique, juridique et démographique d’AL Qods« , a annoncé la présidence de la République dans un communiqué rendu public ce vendredi 14 mai 2021. La même source a dénoncé les attaques brutales menées par l’armée israélienne à la bande de Gaza ayant fait des victimes innocentes considérant que ces attaques constituent une violation flagrante des décisions onusiennes et de la loi internationale et humanitaire.
Le même communiqué a ajouté que conformément aux consignes du chef de l’Etat Kais Saied, la Tunisie , en tant que membre arabe non permanent au Conseil de sécurité de l’ONU, continue à fournir tous les efforts nécessaires pour tenir le Conseil pour responsable quant au maintien de la paix et de la sécurité internationales en l’incitant à intervenir en urgence et à prendre une position claire pour mettre immédiatement fin à l’agression flagrante commise à l’encontre du peuple palestinien et à l’escalade qui ne cesse de faire des victimes dans les rangs des civils.
Le même communiqué a rappelé qu’après coordination avec la partie palestinienne, la présidence du Conseil de sécurité ainsi qu’avec certains pays membres du Conseil, la Tunisie a appelé à la tenue de deux réunions urgentes à huis clos. Elle a également appelé à la tenue d’une troisième réunion publique.
La présidence de la République a, par ailleurs, assuré que la Tunisie continue, avec la même détermination, à assumer pleinement ses responsabilités en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité à travers la mobilisation des États membres du Conseil ainsi que d’autres pays frères et amis.
« La Tunisie continuera à défendre les droits du peuple palestinien qui ne pourraient faire, en aucun cas, l’objet de négociations ou de concessions. »peut-on lire dans le même communiqué.