Dans les coulisses du Conseil européen, une nation brille par son importance cruciale : la Tunisie. Le pays, considéré comme étant le point de départ de nombreux migrants vers le Vieux-Continent, incarne la volonté commune de tous les États membres de l’Union européenne de résoudre ce problème majeur. Antonio Tajani, Vice-président du Conseil des ministres d’Italie et ministre des Affaires étrangères, a fait cette déclaration lors de son passage au micro du « Caffé Europa » sur Rai Radio1.
Les obstacles face à une politique migratoire commune
Face au veto de la Pologne et de la Hongrie, Tajani a souligné que le reste de la politique migratoire n’a malheureusement pas connu de résultats aussi positifs. Ces deux pays ont adopté une position différente en ne votant pas la partie du document qui allait dans le sens d’une politique migratoire commune.
Accélérer les négociations pour un consensus
Cependant, Tajani s’est vu confier la mission d’accélérer les négociations en vue d’un consensus, et il assure que l’Italie continuera à travailler avec engagement et détermination pour atteindre cet objectif.
La Tunisie au cœur des discussions européennes
La Tunisie, en tant que point de départ de nombreux migrants, joue donc un rôle clé dans les discussions européennes. Cette reconnaissance témoigne de la volonté inébranlable de tous les pays de l’Union européenne de trouver des solutions durables à cette crise migratoire.