Le Festival International de Carthage et la Banque de l’Habitat (BH) ont signé une convention de partenariat en présence de Ahmed Rjiba, Directeur Général de la BH, et de Mokhtar Rassaâ, Directeur de la 54ème édition du Festival International de Carthage.
La cérémonie s’est déroulée vendredi 20 juillet 2018, au siège de la BH. A travers cette convention, la BH devient ainsi l’un des plus gros sponsors du Festival International de Carthage. Elles renforce, de ce fait, la collaboration entre les secteurs public et privé. C’est également une manière de soutenir le rôle déterminant du secteur privé dans le développement des industries culturelles en tant que secteur productif.
A cette occasion le Directeur Général de la BH, Ahmed Rjiba, a déclaré que la banque apporte son appui au Festival International de Carthage dans le cadre de sa dynamique de transformation. La banque confirme ainsi sa vocation en tant qu’institution citoyenne qui déploie ses efforts dans le soutien de l’art, du sport, de la culture et toute autre action mécénale.
La BH avait entre-autres soutenu au cours de l’année 2018 le Festival du Cinéma Tunisien, l’édition du livre » تحياالجمهورية » (une publication collective dirigée par Kamel Jendoubi) ». « C’est un honneur pour nous de voir la Banque de l’Habitat et le Festival International de Carthage unis et nous espérons que ce partenariat se développe pour le bien de la Tunisie », a déclaré le directeur général de la BH.
De son côté, Mokhtar Rassaâ, Directeur de la 54ème édition du Festival International de Carthage, a souligné que la BH est présente dans chaque demeure tunisienne depuis les années soixante-dix alors qu’elle était une caisse d’épargne d’habitat.
« La BH s’engage aujourd’hui dans une nouvelle voie en soutenant activement la culture. Nous saluons cette initiative en exprimant notre satisfaction de voir le Festival International de Carthage au centre d’intérêt de cette prestigieuse banque », a-t-il déclaré.
Le directeur du Festival a souligné l’importance de ce partenariat dans la mesure où le festival pourra mobiliser des fonds qui lui permettront de diversifier ses programmes et « répondre à tous les goûts et embrasser toutes les expériences artistiques ».
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