Oui, le nouveau coronavirus (SARS-CoV-2 ou COVID-19) a rendu des millions de personnes tristes à cause de la perte de leurs proches. Oui, la pandémie est en train de faire des ravages dans le monde. Cependant, malgré toutes les ondes négatives, même celles qui proviennent de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), le monde résiste de mieux en mieux à la pandémie.
Il suffit d’observer les chiffres de l’Université de Johns Hopkins. On constate que le nombre de guérisons est largement supérieur à celui des décès : 970 673 rétablissements contre 226 771 morts. Être contaminés par le nouveau coronavirus ne signifie pas forcément la mort. Le virus est, certes, distingué et imprévisible, mais il n’est pas invincible. En l’absence d’un vaccin, les gestes barrières et le respect des consignes des autorités sanitaires constituent les meilleurs moyens de l’endiguer.
Les pays les plus ravagés sont ceux qui ont pris les dispositions nécessaires tardivement, et c’est très triste étant donné que des milliers de vie ont été emportées par la maladie. Dans ce contexte de crise, la solidarité entre les pays doit être de mise. Elle doit aussi être de mise entre les individus. Il est essentiel de tirer les leçons du nouveau coronavirus qui doit, normalement, nous ouvrir les yeux sur tant de questions existentielles.
A titre d’information, le nombre de personnes contaminées a atteint les 3 187 919 dans le monde. Les États-Unis sont le premier foyer de la maladie avec 1 036 652 contaminations. Ils sont suivis de l’Espagne (236 899), de l’Italie (203 591), de la France (169 053) et du Royaume-Uni (166 440). La Tunisie s’en sort très bien : 980 cas contaminés, 40 décès (paix à leurs âmes) et 294 guérisons.
Le combat continue.