L’instance de lutte contre la corruption a affirmé qu’il a été décidé de conclure des contrats de partenariat avec les composantes de la société civile en dépit de ses ressources financières limitées et ce à l’issue de la polémique suscitée suite à l’annonce de la liste des associations ayant bénéficié de son soutien financier au titre du deuxième semestre de l’année 2017.